mercredi 28 septembre 2011

La Peur de la Nature

de François terrasson

sous-titre :
« Au plus profond de notre inconscient les vraies causes de la destruction de la nature ».





Tout est dit, ou presque...

François Terrasson analyse avec une pointe de dérision, mais surtout avec beaucoup de perspicacité les mécanismes psycho-socio-culturels qui conditionnent nos existences et nos relations conflictuelles et désastreuses avec la nature, dont pourtant nous faisons tous partie intégrante...



Mais ici, point de jargon médical ni de concepts aussi abstrus qu'abscons : une balade, l'air de rien, dans l'univers souterrain de l'émotionnel qui nous domine, quoi qu'on en dise, même -et surtout- chez ceux qui se veulent les plus cartésiens...

L'occasion de comprendre non seulement pourquoi nous détruisons la nature, mais plus généralement l'effroi que suscite toute spontanéité, toute manifestation anarchique, bref « tout ce qui ne dépend pas de la volonté de l'homme* », y compris chez lui-même, ses enfants, ses artistes, ses marginaux, ses fous, ses femmes...

Une petite promenade jubilatoire, déconditionnant avec simplicité nos regards de civilisés angoissés, nous permettant de renouer avec la Nature comprenant notre propre nature...

Un livre « assainissant », incontournable de la Bibliothèque de l'ANEP !

*C'est la définition « Terrasonienne » de la Nature... amusante, n'est-ce pas ?

jeudi 22 septembre 2011

Sus à la bêtise humaine!





Auteur: Marcel Kienné de Mongeot
La Revue Naturiste Internationale n°173 ( Février 1970)

mardi 20 septembre 2011

dimanche 18 septembre 2011

Deux éditos-choc de Kienné de Mongeot



Auteur: Marcel Kienné de Mongeot
Vivre d'Abord! n°331 (Décembre1939)
Vivre d'Abord! Série EROS n°1 (1946)


En guise de préface…

Dans le cadre de notre projet de réveil de la “ pensée naturiste ” et d’éclairage sur l’esprit qui la sous-tend, nous avons choisi de vous donner à lire deux éditoriaux de Marcel Kienné de Mongeot parus dans “ Vivre d’Abord ! ”, le magazine du Mouvement Social Vivre.

L’un, daté de Décembre 1939 sera le dernier de “ l’avant-guerre ” (elle est déclarée depuis 3 mois…). L’autre, de Juillet 1946, inaugurera la reprise des parutions de la revue, après la fin des hostilités.

Le premier texte, intitulé Le Mouvement Gymnique et la Guerre, exprime l’extrême amertume de Kienné de Mongeot et de tous les “ gymnosophes ” français (1) devant les multiples trahisons de Hitler vis à vis du Mouvement dit « de la Libre Culture » (Feikörperkultur). En effet, à l'origine, dès 1918, celui-ci était porteur d'idéaux de Paix, de Justice, de Simplicité et de Bonté, destiné au « rapprochement fraternel entre les peuples et les races, et l'amélioration corps et âme de l'être humain ». Aux antipodes, comme on le voit, de l'idéologie Nazie.

Il tord le cou, une fois pour toutes j’espère, à ces malveillantes et imbéciles affirmations qui réitèrent périodiquement –pour quelles raisons, on se demande ?!…- la “ thèse ” fumeuse et négationniste selon laquelle ce Mouvement, aujourd’hui connu sous le vocable fourre-tout de “ naturiste ”, serait le fils honteux du fascisme hitlérien (2).

Le second, intitulé La Bombe Érotique (3), juste après l’hécatombe, en Juillet 1946, réaffirme son indéfectible foi dans les “ vertus de la Vie ”, si j’ose dire. Et la source de cette énergie de Vie créatrice, il la désigne très pertinemment par le mot “ Eros ”, pris dans le sens grec d’une psycho-cosmogonie à laquelle il se référera toute sa vie; à l’instar de la plupart de ses contemporains, tout imprégnés de culture classique.
Vingt ans avant l’explosion juvénile des années 60, il osera affirmer qu’ “ entre la guerre et l’Amour, il faut choisir ! ”.
D’ailleurs, la force de sa conviction dans l’incontournable vérité de cette analyse le poussera à renommer audacieusement “ Vivre d’Abord ! ” “ Eros ” pendant les trois premiers numéros de l’après-guerre. Mais, incompris une fois encore, même par nombre de ses adhérents restés pourtant fidèles à ses thèses durant les années de plomb, il reviendra à son titre-fétiche, beaucoup moins  provocateur et polémique, et qui exprime néanmoins le même élan vital.

Ces deux textes, outre qu’ils expriment la permanence, au delà du Temps, d’une exigence intrinsèque (pour ne pas dire “ congénitale et ontologique ”…) de l’être humain à conscientiser et vivre réellement le vrai sens de sa Vie, déblaient la voie à notre entreprise en faisant avorter maints “ débats ” oiseux et vains qui n’auraient pas manqué de venir parasiter un site que nous voulons mine d’idées, de témoignages et de propositions afin d’aider à donner un visage au Nouveau Monde à naître.

Michel PIVERT et Julien WOLGA

1)C’est par cette appellation qu’aimaient se désigner les “ naturistes ” de l’époque ; elle signifie quelque chose comme “ adeptes de la Sagesse par la Nudité ”. Nudité des corps et des esprits , c’est à dire dépouillés des oripeaux artificiels  - qu’ils soient magnifiques ou misérables !-  dont les humains “ habillent ” la vérité de leur condition, de leur place dans le Monde et  de leur destinée. Ces “ loques ”, même estampillées “ de luxe ”, concernent bien évidemment  les dénis, les préjugés, les idéologies, etc…sécrétés par le mental depuis … Adam et Eve.

2)Dans la légende d’une photo publiée en Janvier 1947 (V. d’A. n° 4), il écrira encore : “ L’Allemagne nazie était dirigée par Hitler, atteint de névropathie, par Goering, obèse et par Goebbels, rachitique ! Des cerveaux déséquilibrés dans des corps malades ! ”  Des personnages  aux antipodes  de l’idéal proposé par le Mouvement de la Libre Culture.

3)En référence à la bombe atomique américaine d'Hiroshima et de Nagazaki quelques mois plus tôt.

vendredi 16 septembre 2011

L'Extraordianaire Équipée des Turlupins











Auteur: Claude Arnault
La Revue Naturiste Internationale n°2, 3, 4, 5 et 6
Mars à Juillet 1956

Le texte que vous venez de lire est extrait des cinq premiers numéros du mensuel naturiste "La Revue Naturiste Internationale" éditée à partir de Février 1956 par M. Vital de VALENCE.

Il retrace de façon à peine romancée l'authentique épopée de la Béguine savoyarde Péronne d'AUBAN (ou DAUBENTON) dont les disciples, issus de la jeunesse française de la seconde moitié du XIVème siècle - toutes classes sociales confondues- se comptèrent par dizaines de milliers.

Elle appartenait à la vaste nébuleuse des Frères et Soeurs du Libre Esprit qui, à partir du XIème Siècle et jusqu'à la fin du XVIème revendiqua dans la plus totale non-violence la liberté des corps autant que celle des âmes.

Elle mérite sans aucun doute le titre de "Jeanne d'Arc" des Naturistes.

Michel Pivert



lundi 12 septembre 2011

Le Naturisme et la Santé




Auteur: Docteur L.Bachelier
La Vie au Soleil n°121
(Janvier-Février 1969)
 et n°122
(Mars-Avril 1969)

samedi 10 septembre 2011

L'Amour, la première fois



Auteur: Gérard Leleu
La Vie au Soleil - Le Nouveau Naturiste n° 58
Janvier-Février 1996

jeudi 8 septembre 2011

L'Amour, une énergie qui soigne


Auteur: Bernard Klein
La Vie au Soleil - Le Nouveau Naturiste n°66
Juillet-Août-Septembre 1977

mardi 6 septembre 2011